Les siècles sont passés, Mais cette cité fière Présente sans trembler, son visage à la mer. Mais celle qui aujourd'hui, rêve de la faire tomber Pilotée de Paris, est venue de Poitiers
Elle se croyait sans doute, dans un terrain conquis Qu’elle arriva certaine, de gagner la partie Mais cétait sans compter, sur sa capacité A perdre tous les combats, qu’elle crut toujours gagnés
Sans compter également, sur l'homme qui terré Dans les ruelles étroites, de sa ville tant aimée Regardait amusé, Royal parachutée Savait bien que ici, elle allait s'écraser
Avec un grand panache, celui de l'insouciance Falorni attendait, l'heure de la résistance Ramassa le drapeau et le leva bien haut La bataille commençait contre Solférino
Drapeau de son courage, et couleurs de l'honneur C'est sous ce bel ombrage, qu'il sortira vainqueur Face aux déracinés, qui dorgueil boursoufflés Considèrent les français, dénués de fierté
Rendant ainsi hommage, aux héros du passé Qui à travers les âges, et désintéressés Combattirent sans relâche, les plus odieux outrages Falorni décida, découter les suffrages
Et le déferlement, des momies du parti Commença aussitôt,dans le plus grand mépris Et cest par trains entiers, que nos chers oligarques Gonflés de suffisance, à la Rochelle débarquent
Les ennemis d'hier, qui jadis l'insultaient En cortège mortuaire, à son secours volaient. Même le président, le père de ses enfants Soutenait cette intruse, dans un ultime élan
Mais dans l'ombre dorée, de son immense palais La favorite aimée, sa vengeance préparait. Elle voulait achever, sa rivale blessée Celle qui avait osé, avant elle l'aimer.
D'un message ravageur, elle sonna le signal Du début prometteur de la curée royale. Nous révélant ainsi, qu'en France désormais C'est bien au fond des lits, qu’on dirige les français.
Cette gauche si normale, qui na jamais cessé De nous faire la morale, de vanter sa pureté Montre qu’elle sait maintenant, se gaver de caviar Tout en nous dirigeant, du fond de son plumard
Falorni mon héros, dresse toi sur tes pieds Contre tous ces bobos, et ces déracinés Ecrase cette migratrice, qui rêvait du perchoir Et bats cette amatrice, vas chercher ta victoire.
Et dimanche soir prochain, à travers le pays S'élèvera enfin, de la France un grand cri Celui du soulagement, et de la gratitude On dira tes louanges, ton immense bravitude.
Tu auras eu la peau, de celle qui croyait Qu’en la faisant tirer, elle tromperait les français Ta gloire sera si grande, que pour toi s’ouvrira Le chemin du pouvoir, qu’elle ne méritait pas. Auteur non cité. Salutacionès.
Commentaires
gros bisous yann .. bonne journée ou vacances ?? a ++
un ptit coucou
mais tu doit etre en vacances
bon été
encore un temps à grenouilles loll
un ptit coucou
mais tu doit etre en vacances
bon été
encore un temps à grenouilles loll
Royal ce texte ! Bravo à l'auteur ! et bises à yann le dénicheur averti ....
c est superbement bien écrit
mais quand meme quelle bagarre pour un perchoir ou nom
la politique ce st la gueguerre que tous se font pour parler en notre nom
contente de te revoir Yann au siége de ton blog loll cà fait plaisir ...
bises
à bientot j 'espére à moins que tu t' en aille aussi sur ton ile
superbement ecrit et bravo je suis contente qu'elle n'ait pas gagné.... gros bisou yann bonne journée de fêtes au pluriel pour la musique et l eté qui brille par son absence ... bisou